Présentation
Après avoir accompagné des familles et des jeunes pendant plus que 15 ans en tant qu’assistante sociale, j’ai poursuivi ma formation afin de devenir thérapeute, travaillant avec le corps et la créativité.
Ayant vécu par moi-même l’efficacité de ces approches, et ne pouvant ignorer le nombre élevé de personnes en mal-être mental et physique, déconnectées d’elles-mêmes et souvent épuisées, j’ai voulu les transmettre à ceux qui peuvent en tirer profit.
Aujourd’hui, je suis donc praticienne en art - thérapie et embodiment coach. Je facilite des groupes thérapeutiques qui cherchent à contribuer au développement personnel d’un chacun (Dandelionne) ou à accompagner des personnes qui se sentent épuisées (Out of Burn).
Au-delà de ça, je suis citoyenne, maman, fille, amie, voisine ...et tellement d’autres choses.
Je suis fille du village, devenue femme de la ville.
J’aime être en lien, être authentique et offrir aux autres l’espace de l’être.
Je suis rêveuse et bosseuse, pas toujours en même temps.
Je suis créatrice et danseuse, à mon échelle à moi.
Je suis amoureuse de la vie, depuis toujours.
Parfois, cet amour a été mis à rude épreuve. Et il le sera probablement encore.
J’ai traversé plusieurs situations traumatisantes et je me suis relevée et j’ai continué à avancer. A apprendre, à grandir.
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Puis mon corps était trop épuisé, j’étais en burn-out sévère. Malgré ma volonté de me battre, de continuer, de me montrer forte, j’ai dû m’arrêter. D’abord pour me reposer, ensuite pour me reconstruire.
J’avais perdu le sens-même de mon identité. Je ne sentais plus aucune connexion avec moi-même, mon corps, mes émotions.
Alors j’ai cherché de l’aide et des outils qui fonctionnaient pour moi.
Et pas à pas, grâce à des thérapeutes bienveillantes et compétentes, grâce à la trauma thérapie, l’embodiment et l’art thérapie, j’ai trouvé mon chemin pour sortir de cette maladie dévastatrice. De guérir de mes traumas du passé. Et laisser derrière moi ce qui ne me servait plus.
Aujourd’hui, je mets mes apprentissages au service de l’autre. Parce qu’on ne change pas fondamentalement qui on est.